Dans le saliga :
le Géranium brun - Geranium phaeum L.
le Compagnon rouge - Silene dioica (L.) Clairv.
la Luzule des bois - Luzula sylvatica (Huds.) Gaudin
et juste avant de quitter le saliga, la Cardamine à sept feuilles - Cardamine heptaphylla (Vill.) Schulz. - nous salut de ces fruits :
Au bord du gave du Saison :
le Séneçon à feuilles de roquette - Jacobaea erucifolius (L.) Gaertn. et al.
le Pétasite des Pyrénées - Petasites pyrenaicus (L.) López = Petasites fragrans
Au bord du ruisseau :
les fleurs du "Cresson de cheval" - Veronica beccabunga L.
Qu'on ne confondra jamais avec celles du "vrai" Cresson - Nasturtium officinale R.Br. (Brassicacées, ex Crucifères)
Nasturtium officinale - licence Creative Commons by-sa - Florent Beck & Tela Botanica
fleurs à 4 pétales - siliques fines et allongées
Attention toutefois à ne pas le confondre, lui, avec sa petite camarade : l'Ache nodiflore - Helosciadum nodiflorum (anciennement Apium nodiflorum) que l'on retrouve souvent à ses côtés ou comme lui, dans les petits ruisseaux.
[non vue lors de la sortie !]
l'Ache faux-cresson - Helosciadum nodiflorum (L.) W.Koch (Apiacées)
Le Cresson aquatique (Nasturtium officinale), comme toutes les Brassicacées, a des fleurs à 4 pétales alors que l'Ache faux-cresson ou encore la Berle à feuilles étroites ont 5 pétales par fleur, comme toutes les Apiacées.
Le Cresson aquatique (Nasturtium officinale), comme toutes les Brassicacées, a des fleurs à 4 pétales alors que l'Ache faux-cresson ou encore la Berle à feuilles étroites ont 5 pétales par fleur, comme toutes les Apiacées.
Autre prétendante à la confusion, moins difficile à distinguer cependant grâce à ses folioles très fortement dentés :
[non vue lors de la sortie !]
la Berle à feuilles étroites - Berula erecta (Huds.) Coville (Apiacées)
Après la floraison, la différence peut se faire sur les fruits : des
siliques fines et allongées chez Nasturtium officinale (Brassicacée), contre des akènes ovoïdes chez les Apiacées :
Helosciadum nodiflorum - Berula erecta
Et en fin d'après-midi, bien loin du saliga et de son exubérance végétale nous sommes partis à l'assaut de Bostmenditte et de son paysage de pierre et de vent :
en haut du 5e mont - la Hêtraie à Jonquilles :
en redescendant, nous croisons ces fleurs minuscules qui s'accrochent aux rochers :
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